Compte rendu de la commission Patrimoine du 5 février 2016

 

Présents : Alain BERNARD, Brigitte BERTHELOT, William BETTS, Laure CHAURAY, Michel OLLIVIER, Cécile THUREAU-BLUMBERG.                     

 

Excusés : Joëlle DARJO, Sophie DAVID, Bernadette COURDÉ, Dominique HIOU.

 

En attente d’un rendez-vous, monsieur le Maire, Thierry BLASZEZYK, a assisté au début de notre réunion.

1– Volontariat et Désignation du /de la secrétaire de la commission.

 

Alain Bernard demande qui se porte volontaire pour être secrétaire de séance.

Cécile Thureau-Blumberg accepte de l’être, à condition de pouvoir enregistrer la séance pour la retranscrire ensuite dans son intégralité (c’est cette façon de procéder  qu’elle a toujours mise en œuvre pour les C/R faits lors de son ancienne activité professionnelle). Brigitte Berthelot et Laure Chauray éprouvent quelque réticence à opter pour cette solution.

 

Laure Chauray se propose de rédiger le compte rendu. Elle est nommée secrétaire de séance à l’unanimité.

 

2 Approbation du compte rendu de la réunion du 26 novembre 2015.

 

Le compte rendu de la réunion du 26 novembre 2015 est approuvé à l’unanimité.

 

3 L’histoire de notre village

 

Alain Bernard : Mesdames Begaud et Chauray, nous savons tous ici que vous avez et continuez de faire des recherches liées à Vouhé.

Pourriez-vous nous faire un rapide tour d’horizon sur ce que vous avez découvert ou mis à jour et déjà intégré dans votre futur ouvrage ?

Vos recherches ont-elles d’ors et déjà fait ressortir un évènement que vous souhaiteriez particulièrement nous faire partager en nous le racontant.

Nous sommes tous ici friands des histoires avec ou sans grand H ayant eu lieu sur notre commune. Nous pourrions alors, avec votre accord le faire paraître dans une rubrique Histoire sur le site de la commune tout cela bien sûr en respectant votre Copyright. Personnellement je serai ravi que vous nous précisiez la finalité de vos recherches.

 

Laure Chauray  fait savoir que les recherches faites à ce jour conjointement avec Mme Bégaud, concernent le Breuil, Chizelle et la maison des Larochefoucault (appelée plus communément à Vouhé ‘’maison Leclerc’’, du nom de ces avant-derniers propriétaires). C’est une conception ‘’plaisir’’, voulue complète avec généalogie, se situant du moyen âge à nos jours. Ce travail devra être condensé pour être mis éventuellement sur le site internet de la mairie.

 

Alain Bernard : Par ailleurs, je souhaiterais que vous rappeliez qu’elles sont exactement les erreurs que vous avez relevées sur la présentation du village figurant sur le site « vouhé17.fr ».

Je précise que les informations sur la présentation historique du village figurant sur le nouveau site ont été pour la plupart prises sur l’ancien site et qu’elles n’avaient alors suscitées aucunes remarques  précisant qu’elles étaient erronées.

Il est vrai que vous n’aviez sans doute pas encore commencé de véritables recherches historiques sur le village. Cécile, ici présente, chargé entre autre de la tenue de ce site pourra ainsi, très rapidement corriger ce qu’il vous semble être plus que nécessaire.

 

Laure Chauray fait remarquer qu’il y a une confusion par rapport à ‘’Vouhé à travers l’histoire.-free’’. L’histoire du village parue sur internet n’est absolument pas le fruit d’un ouvrage du précédent mandat, le site internet n’existant pas. Ça ne pourrait-être qu’une démarche particulière, pourquoi pas ? En tout-cas ‘’L’internaute inconnu’’ qui l’a réalisé, s’est bien inspiré de la monographie, écrite par les abbés Gâtineau, Micheau et Ginisty de 1875 à 1925. (Archives paroissiales de l’église de Vouhé). Il a aussi rajouté des notes prises ailleurs, comme sur châteaux, Manoirs et Logis de Frédéric Chasseboeuf par exemple, dont il n’a pas vérifié les sources.

Il cite notamment que Bois Fontaine aurait appartenu aux XVIIe à Benjamin Chastaîgner, seigneur de Cramahé. Or, rien à ce jour, ne permet de l’affirmer. D’après mes recherches, le premier propriétaire connu avec certitude est Uriel Becquet, ascendant du propriétaire actuel.

 

Peut-être, devrions-nous conserver uniquement la partie histoire de notre village, faite par les abbés et que nous avons déjà transcrite. Sinon, il faudrait remplacer le paragraphe suivant :

« Nous ne connaissons rien de plus sur Bois-Fontaine jusqu’en 1663, date que nous retrouvons dans les registres de la paroisse : « Le 6 janvier, a été enterré dans l’église le corps de Marie Fruget, décédée à l’âge de 33 ans, dans sa maison de Bois-Fontaine, épouse de l’honorable Pierre Jouhot ».

Par ce que nous trouvons réellement sur les registres paroissiaux de Vouhé :

« Le 6 janvier, a été enterré dans l’église le corps de Marie Truchot, décédée à l’âge de 53 ans, dans sa maison de Bois-Fontaine, épouse de l’honorable homme Pierre Jouhot ». Marie Truchot était l’épouse en première noce d’Uriel Becquet, sieur de Boisfontaine, dont elle a eu un fils Jean né avant 1643 et décédé après 1680 ».

 

4 – Avancement des prises de contacts concernant la restauration, entretien de l’Eglise.

 

Alain Bernard : Dominique HIOU, a-t-il pu avancer sur ce sujet auprès de l’architecte des Bâtiments de France. Les documents ainsi que les contacts sur Poitiers que je lui ai confiés ont-ils pu le faire avancer sur ce projet ? Merci de nous tenir informés.

 

Dominique HIOU étant absent excusé, nous en saurons davantage à la prochaine réunion. Il semblerait qu’il soit allé se rendre compte des travaux réalisés par l’Insertion Surgérienne Gères Devise à l’Eglise de Péré.

 

5 Peinture porte de l’Eglise proposition palette de couleurs

 

Alain Bernard : Bernadette a-t-elle pu se procurer des devis auprès de ’’Gères Devise ‘’ ? Les contacts avec la Mairie de Péré dans le cadre de la restauration de l’Eglise ont-ils été fructueux ? Vote pour la couleur des portes.

        

Bernadette Courdet, absente excusée a demandé un devis à ‘’Gères Devise’’ qui devrait parvenir en mairie d’ici à trois semaines.

Alain Bernard nous demande de choisir sur un nuancier une couleur parmi les tons de rouge, couleur qui avait été évoquée par certains membres, lors de la réunion précédente.

De l’avis unanime des présents,la préférence se porte sur un ton bois. Les  portes une fois poncées seraient teintées ton chêne foncé ou moyen avec une lazure type Bondex par exemple. Ainsi, elles garderaient leur authenticité.

Pour info, cette note de l’abbé Cazaugade :

« Le 21 janvier 1882, une porte en chêne a été placée à la façade Sud de l’église. Cette porte d’un travail intéressant a été faite par les ouvriers de la paroisse. Le menuisier Hiou en a travaillé le bois qui a été fourni par Mme de Lajallet et le maréchal Moreau, a su rendre assez bien, les ferrures dont le modèle avait été composé par Mr le Curé lui-même… »

 

6  –  Qu’est devenu le confessionnal 

 

Alain Bernard : Après recherches personnelles et visites effectuées avec Madame Chauray et Vincent des différents lieux susceptibles d’avoir servis d’entrepôt à ce confessionnal, le résultat est mince et définitif.

Nous n’en avons en effet, retrouvé qu’un morceau (une porte en mauvais état) dans l’entrepôt des Associations. Le reste a disparu « corps et bien », sans doute dans un « feu purificateur ». Paix à son âme donc.

Dans le même registre des « disparitions », j'ai souvenance que lors de notre dernière réunion, il avait été fait état de « donations » vers un musée de Niort, du corbillard, et de diverses pièces de culte (encensoir, et autres ciboires ou tableaux). Puisque la municipalité a en charge l'entretien et la conservation de l'Eglise, la question que je me pose et vous pose est la suivante :

A quelle époque ces donations ont elles été réalisées. Je suppose que tout cela a été acté en Conseil. A contrario, si cela a été fait « bénévolement » et non pas officiellement, je soumets à vos commentaires et décision la question suivante :

Qu'envisageons nous pour :

- soit laisser tomber nos recherches,

- soit au contraire, d'essayer de faire réintégrer ces objets dans notre Eglise où je pense ils seront appréciés par les personnes qui ont attiré notre attention sur ce sujet. La deuxième option ferait oublier aux uns et aux autres, la disparition du confessionnal.

 

Après discussion, nul ne sachant ce qu’est devenu le confessionnal, la commission juge qu’il y a des choses plus importantes et décide de clore le chapitre.

 

Michel Ollivier nous informe que des affaires sont aussi stockées dans le grenier au-dessus du salon de coiffure et dans celui du préau de l’école. A voir ?

 

Laure Chauray apporte quelques renseignements recueillis auprès des anciens à propos des corbillards :

L’ancien corbillard tiré par un cheval noir, appartenait à la seule commune de vouhé. Il était stationné dans le garage du presbytère.  Bien que « remisé au placard » en 1965, il y est resté un certain nombre d’années avant d’être brûlé, il y a plus d’une trentaine d’années de cela.

En janvier 1965, une Peugeot 403 familiale, achetée à un particulier de Benon, l’a remplacé. Ce corbillard automobile a été acquis en commun, entre les communes de St Georges du Bois pour moitié, Puyravault pour ¼  et Vouhé pour ¼.

En avril 1996, suite à de nouvelles procédures de mise en conformité, le devis du contrôle technique effectué pour la remise aux normes s’élevait à 50 000 F. C’est d’un commun accord que les communes ont donc décidé de le réformer, surtout que la loi du 08/01/1998 abrogeait définitivement au terme d’une période transitoire de 5 ans le monopole communale des pompes funèbres. Destiné à la casse auto, il a été acheté en août 1996 par un particulier de St Georges du Bois. Le côté sentimental aidant, il est depuis cette date « conservé dans son jus » (Dixit le propriétaire).

En ce qui concerne les objets d’église : on peut lire dans un compte rendu du  21 ventôse an II de la République française (11/03/1790) (transcrit tel quel) :

 « la municipalité s’est assemblée en Cseil general pour délibérer à leffet de faire un inventaire tant des ornements de l’Eglise que du linge appartenant à la ditte Eglise, en vertu d’un arrêté du Cseil du District de Rocht en date du 2 ventôse qui ordonne de porter les dits effets dans trois jours pour tout delai, apeine de responsabilité au Dit District, sur ce ouï l’agent de la Cne en a fait l’inventaire ainsy qu’il suit, et il a été arreté que coppie en seroit envoyée au Dit District avec les dits effets ; un calis, un ciboire, un ostensoir, un soleil le tout d’argent, trois surplits ou rochets, douzes morceaux de linge tels que nappes d’otel etc et quelques autres petits morceaux de linge tels que lavobo etc, quatre aubes, la garniture du Dé, un devant d’autel noir et blanc, une brunette, onze chazubles, dix neuf etolles, onze manipules, des voils, un petit tablier pour le bondieu, deux franges en fil, sept bources, un chaplé, deux cordons ».

Ceci explique sans doute, pourquoi nous n’avons plus ces objets dans notre église. La commission se pose aussi la question de savoir à qui appartiennent les biens d’église ? Des  inventaires plus ou moins précis et exhaustifs, ont été établis en 1905 pour répertorier l’ensemble des meubles et des objets considérés comme propriété des communes. Mais, là encore, y en at-il eu un de fait à Vouhé ?

 

7   L’Environnement lié au Patrimoine une nécessité

 

Alain Bernard : Comme je l’avais déjà évoqué lors de ma présentation pour notre première réunion je vous confirme que je tiens absolument à ce que les deux commissions, Patrimoine et Environnement travaillent de concert.

Je reste persuadé en effet que l’ensemble des réflexions et observations de ces deux commissions seront productives et permettront à notre village d’avancer dans le bon sens.  Leurs travaux et suggestions seront présentés et défendus par moi en Conseil pour être actés par voix de vote.

 

Après réflexion, il semble en effet difficile de dissocier les deux commissions. Au vu des explications données, les membres présents acceptent à l’unanimité cette proposition.

 

8  Panneaux indicatifs, historiques des différents ponts et autres monuments significatifs de la commune

 

Alain Bernard : pour l’église par exemple cela pourrait être sa date de construction – Par qui son implantation a-t-elle été voulue, historique de sa construction ou destruction partielle, objets et architecture remarquables etc…

- Suivant les dimensions des panneaux indicatifs, faire une étude de prix auprès des entreprises de gravure sur plastique.

- Sophie, Initiatrice de ce projet contactera les graveurs sur plexi ou autre matériaux Ad Hoc pour cela.

- S’agissant des photos anciennes évoquées par Sophie, quels sont ceux ou celles qui en ont ou pourraient en avoir ? Vote. Voulez-vous voir ce genre  d’informations patrimoniales affichées devant les sites remarquables de la commune ? Si oui en faire la liste.

 

Cela fait effectivement partie des points déjà évoqués lors de la première réunion de 2015. Les principaux centres d’intérêt de notre commune sont nombreux : l’église, l’emplacement du prieuré de l’ordre de Fontevraud au Grand St Bibien avec sa fontaine et le vieux chêne (qui sont tous les deux sur Benon, mais limitrophes à Vouhé) et bien d’autres encore, mais attention, certains sont sur des propriétés privées.

 

Les membres présents y sont favorables à l’unanimité et vont y réfléchir.

 

Brigitte Berthelot dit avoir vu chez le notaire une note, signalant sur Vouhé plusieurs bâtiments répertoriés à ne pas détruire. Elle doit se renseigner pour essayer d’obtenir cette liste.

 

Michel Ollivier possède quelques photos anciennes, telles que les rues inondées de Vouhé. Il les transmettra à Cécile Thureau-Blumberg pour qu’elle en fasse des copies.

 

9 – La carte des cours d’eau de Vouhé

 

Alain Bernard : Le beau projet et sa réalisation que nous a présentée Monsieur William BETTS lors de notre dernière réunion a-t-il pu être finalisé ? Peut-on en faire des copies pour affichage dans la Mairie, à l’école et au club house.

 

William Betts a porté sur sa carte les annotations apportées par Michel Ollivier. Devant le résultat du travail accompli, nous sommes toujours tentés de lui demander s’il peut faire d’autres rajouts. William nous fait remarquer avec raison que la carte était initialement prévue pour situer les cours d’eau et qu’il ne lui reste plus guère de place pour d’autres notes !  Il tient cette carte à la disposition de la commune pour en faire des copies. 

 

10 Embellissement du village

 

Alain Bernard : quelles sont vos suggestions ?

 

Notre village est déjà bien fleuri et entretenu. Les membres présents n’ont pas de souhait particulier. L’entretien prévaudrait dans un premier temps.

Alain Bernard nous signale que suite aux travaux devant l’école, les entrepreneurs s’étaient engagés à donner à la commune entre 150 et 200 arbres et arbrisseaux. Il nous demande de réfléchir aux endroits où il conviendrait de les  placer.

B. Berthelot émet l’idée d’en planter si c’est possible, derrière les ombrières. Cela pourrait contribuer à réduire l’aspect imposant de l’ensemble.

 

11 – Impact engendré par la future révision générale du PLU.

 

Alain Bernard : Rappel : Réviser un PLU c’est définir ou redéfinir notre vie à toutes et à tous sur la commune pour les 20 ou 30 ans à venir. Dans une révision générale de PLU tout ce qui était acté et encore d’actualité doit donc être repris dans son intégralité. A défaut, tout ce qui était prévu ou imposé dans l’ancien PLU mais non repris dans le nouveau sera définitivement obsolète.

- Il est donc de notre responsabilité collective et de notre devoir de réfléchir sur le devenir environnemental et patrimonial futur de notre village.

- Cela me semble indispensable et prioritaire.

- Dans mon introduction lors de la première réunion, j’avais évoqué sans les désigner, que certains sites n’étaient pas, de mon avis personnel,  représentatifs et compatibles  avec la notion d’un bel environnement.

- Lors de mon intervention, personne n’a relevé ou contredit mon opinion.

- Mais j’ai sans doute réveillé quelque mémoire, puisque suite à cela, il m’a été communiqué quelques jours après, la copie d’un courrier précédent la première mandature du maire actuel adressé par la mandature.

- Il était adressé à un de nos concitoyen pour l’informer et lui rappeler que l’implantation de son habitation légère n’était pas compatible avec le PLU et qu’elle devait et ne pouvait être que provisoire.

- L’habitation est toujours là.

- Cela est inacceptable et ne pourra donc plus perdurer.

- Je ne cherche pas à savoir qui a fait ou n’a pas fait ce qu’il fallait pour que ce provisoire cesse.

- Pour palier entre autre à ce genre d’implantation provisoire et anarchique devenue hélas presque pérenne, le prochain PLU définira des directives précises et incontournables.

- Nous devons donc, en amont de ce futur PLU, évoquer et donner nos souhaits afin que ce genre de situation ne puisse perdurer.

- En effet, si d’un point de vue fiscal cette situation profite aux utilisateurs, elle  pénalise néanmoins, de par la législation, les revenus de la commune donc les nôtres. Au même titre qu’une construction de style breton, normand ou méditerranéen ne cadrerait dans l’architecture générale de Vouhé, une habitation « mongole » n’a pas sa place dans le village gallo-romain dans lequel nous vivons.

- Cela ne sera donc plus envisageable et il faudra que les acteurs assument toutes leurs responsabilités.

- Dans cette commission, nous devons donc faire abstraction, d’un antagonisme qui nous serait dicté par atavisme quelconque.

- Nous devons, me semble-t-il nous impliquer à fond dans les règles du futur PLU. Montrons nous donc inventifs, créatifs et en même temps rigides envers tout ce que nous considérons ou considèrerions essentiel pour notre bien être actuel et futur.

- Enfin, je terminerai sur ce sujet du PLU en vous rappelant que je suis responsable de l’urbanisme au sein du Conseil et  désigné référent PLUi auprès de la CDC.

A ces titres pour défendre Vouhé notre Municipalité, je souhaite que mes arguments, ne soient que le reflet de nos aspirations communes et concertées. Vote pour décider de mettre ensemble nos suggestions, idées, et directives au futur PLU.

 

Il n'y a pas eu de vote, chaque membre présent  est bien conscient qu'il doit y avoir une harmonie entre toutes les habitations du village et accepte l'idée de mettre en commun les suggestions de chacun.

12 –  Questions diverses :

 

Brigitte Berthelot signale que l’impasse des Nones est communale et demande s’il ne serait pas possible de l’empierrée car elle est en mauvais état.

 

13 – Date de la prochaine réunion

 

La prochaine réunion est fixée le 7 avril 2016 à 18 h.